Le maltitol qu’on retrouve souvent dans les produits allégés en sucre est un polyol synthétique produit à partir du sucre de malte, dérivé de l’amidon. C’est un édulcorant dit de masse car il remplace poids pour poids le sucre classique. Il est deux fois moins calorique que le sucre et apporte un pouvoir sucrant quasiment équivalent (environ 20 % plus faible).

La consommation d’aliments contenant du maltitol à la place du sucre classique entraîne une hausse de la glycémie inférieure à celle qu’entraîne la consommation des aliments contenant du sucre. En effet, le maltitol n’est pas digéré comme les autres sucres : il ne franchit pas la barrière intestinale et est métabolisé plus lentement ce qui entraine une élévation de la glycémie moins importante que le saccharose.

Le maltitol, utilisé dans les produits sans sucres, fait partie de la famille  des polyols qui ingérés en quantité importante peuvent avoir des effets laxatifs. La dose maximale de maltitol recommandée est de 50 g/jour pour les adultes et de 30 g pour les enfants.

Dans sa gamme de biscuits « contrôle des sucres », Gayelord Hauser a ainsi substitué le sucre classique par le maltitol, ce qui en fait des encas idéaux pour les diabétiques ou pour ceux souhaitant réduire leur consommation de sucre.

Le konjac est une racine qui provient d’Asie du Sud-Est : il pousse notamment dans les forêts du Japon. Apparu au 18ème siècle, le konjac était principalement consommé pour ses qualités médicinales. En effet, ce légume était réputé pour ses vertus contre le diabète et le cancer. Aujourd’hui, le konjac est utilisé dans le cadre de nombreux régimes car il est considéré comme un coupe-faim naturel. Les fibres qu’il contient gonflent au contact de l’eau dans l’estomac et font de ce plat un allié minceur au quotidien. Le konjac est également très peu calorique car il ne contient que 3 calories pour 100 grammes.

Sous forme de shirataki ou de tagliatelles, le konjac est donc une excellente alternative aux pâtes classiques pour réduire l’apport calorique, avec à peine 9,6 kcal pour 100 g et 85% de glucides en moins par rapport aux pâtes. Ils permettent de se faire plaisir sans culpabiliser.

Autres indications thérapeutiques démontrées :
Grâce à sa forte teneur en fibres, le konjac aide à réguler les transits intestinaux et traite les ballonnements, les constipations et les diarrhées. Le konjac est aussi un aliment détoxifiant. Ses fibres facilitent en effet l’élimination des toxines de l’organisme. Grâce à son index glycémique très faible, il aide à faire baisser les pics d’insuline et régule le métabolisme, pour un meilleur contrôle du stockage des graisses.

Le fructose est l’un des deux glucides simples qui composent le sucre. Il possède la même composition chimique que le glucose mais a des vertus nutritionnelles incomparables :

– Un pouvoir sucrant presque 2 fois supérieur à celui du sucre classique : on peut utiliser 2 fois moins de fructose pour la même saveur sucrée ; astucieux quand on souhaite limiter sa consommation de sucre ou qu’on fait attention à sa ligne.

– Un pic de glycémie (ou taux de sucres dans le sang) plus bas : la montée du sucre dans le sang ayant été plus lente et plus progressive, la sécrétion d’insuline est plus modérée.
[L’insuline a pour rôle de faire pénétrer le sucre dans nos cellules, afin de réduire le taux de sucre dans notre sang.
En particulier, à chaque augmentation brutale de notre glycémie, des pics d’insuline sont automatiquement générés, avec pour but de rétablir la glycémie d’origine. Malheureusement, ces pics d’insuline possèdent aussi un certain nombre d’effets délétères :
A long terme : à force d’être engendrés, la répétition de ce processus peut contribuer à diminuer la sensibilité des cellules à l’insuline, premier pas vers le diabète de type 2, et à favoriser les mécanismes de l’inflammation, faisant le lit de maladies chroniques.
A court terme : l’insuline favorisant le stockage des graisses, ces pics contribuent à nous faire grossir.]

Le fructose est donc une bonne alternative au sucre classique pour les diabétiques de type 2 ou pour ceux souhaitant limiter leur consommation de sucre pour une alimentation plus saine. Toutefois, l’Anses* recommande une limite d’apport de 50g maximum de fructose par jour (rapport Anses, 2016).

*Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

Les fibres alimentaires sont des composants de cellules de végétaux qui ne sont ni digérés ni absorbés dans l’intestin grêle humain. Les fibres présentent de nombreux bienfaits en fonction de leur origine et de leur structure. Les fibres alimentaires se regroupent en deux catégories : les solubles et les insolubles. La plupart des aliments d’origine végétale contiennent ces deux types de fibres.

–  Les fibres solubles forment un « gel » qui protège la paroi intestinale. Elles l’empêchent d’absorber des substances nocives et freinent l’absorption de la graisse et du sucre.

–  Les fibres non solubles permettent un meilleur fonctionnement du transit intestinal et accélèrent l’évacuation des toxines. De plus, en servant de nourriture au microbiote intestinal (organe de défense et de contrôle central de l’organisme), les fibres participent à la prévention de nombreuses maladies : obésité, maladies cardiovasculaires, infections, etc.

Le Programme National Nutrition Santé (PNNS) recommande une consommation d’au moins 25 g de fibres par jour.

Les fibres alimentaires sont principalement présentent dans les végétaux (fruits, légumes et légumineuses), ainsi que dans les céréales complètes. Voici l’apport moyen en fibres de certains aliments (pour 100g) :

  • Son de blé : 42g
  • Graine de chia : 34,4g
  • Haricot blanc cuit : 13,8g
  • Tomate séchée : 12,3g
  • Haricot rouge cuit : 11,6g
  • Noisette : 9,7g
  • Biscotte complète : 8,8g
  • Lentille verte cuite : 8,5g
  • Artichaut cuit : 8,3g
  • Pois chiche cuit : 8,2g
  • Lentille cuite : 7,9g
  • Pruneau sec : 7,4g

Source : Ciqual

Non, tous les produits Gayelord Hauser sont garantis sans OGM.

La levure de bière est un complément nutritionnel naturel, qui s’utilise par cure d’un à deux mois au changement de saison (mars et octobre), ou régulièrement au cours de l’année. La levure de bière est riche en vitamines du groupe B qui sont surnommées « vitamines beauté » car elles ont un effet bénéfique sur la peau, les cheveux et les ongles et participent au renouvellement cellulaire.

La levure de bière est composée de champignons microscopiques appelés saccharomyces cerevisiae, naturellement présents dans le sol et l’air ambiant. Ce champignon peut se développer de 2 manières. En effet, selon le produit, le process et la consommation sont différents :

  • Dans le cas de la levure de bière paillette : l’organisme se développe en levurerie sur de la mélasse de betterave coproduit de l’industrie sucrière riche notamment en vitamines du groupe B. A partir de souches de levures sélectionnées, la fermentation est réalisée en conditions aérobies avec des apports précis de mélasse, de sels nutritifs et d’air. Elle est ensuite séparée par centrifugation puis séchée sur des tambours rotatifs sous vide afin d’en préserver toutes ses qualités nutritionnelles. La levure de bière paillette se saupoudre sur vos salades, s’ajoute à vos potages, yaourts… à raison d’une à deux cuillères à soupe par jour.
  • Dans le cas de la levure de bière comprimés : l’organisme se développe en brasserie sur du malt, riche notamment en vitamines du groupe B. Celui-ci est ensuite mis sous conditions anaérobies (c’est à dire en quasi absence d’oxygène) pour transformer les sucres du malt en alcool pour la bière. Elle est ensuite séparée soit par décantation, soit par centrifugation puis séchée, sans ajout, afin d’en préserver toutes ses qualités nutritionnelles. Les brasseries n’utilisent pas d’additifs, ni pesticides, ni produit chimique pour atténuer l’amertume naturelle de la levure de bière. La levure de bière comprimés se prend à raison de 9 à 10  comprimés par jour (à vérifier sur l’emballage du produit), en une seule prise, ou un peu avant chaque repas.

La déclaration nutritionnelle (ou tableau des valeurs nutritionnelles) est indiquée sur l’emballage du produit. Les chiffres indiqués correspondent aux teneurs en nutriments présentes dans l’ensemble des ingrédients constituants le produit (liste des ingrédients). Nous indiquons la teneur des nutriments que nous analysons. Si le nutriment que vous cherchez n’apparait pas, cela signifie que nous ne faisons pas d’analyse de ce facteur et n’avons pas d’information à vous donner à son sujet.

Si vous n’avez pas trouvé la réponse à votre question, nous vous invitons à contacter notre service consommateur.